PARRAINS ET FILLEULS

Partager leurs rêves, les aider à grandir, offrir un avenir à un  enfant.

30 €/mois. Déduction possible: article 200 du CGI

PARRAINS ET FILLEULS

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Bruno et sa filleule Violette

Parrainer un enfant lui permet de retrouver le chemin de l’école et de l'avenir. Il favorise également le développement de toute la communauté de l’enfant.Vous permettez à des dizaines d’enfants de retrouver le chemin de l’école en finançant leurs frais de scolarité.

Vous permettez à l’enfant de retrouver le chemin de l’école et d’accéder à ses besoins vitaux : alimentation, santé, eau.

En plus du parrainage d'un enfant, vous contribuez à soutenir les besoins des autres enfants de sa famille.

Grâce aux échanges téléphoniques et aux visites sur place possibles, vous tissez un lien fort avec votre filleul et sa communauté.

JEAN-PAUL et sa filleule CHARBELLE

Lorsque notre Président Séverin TESSI m'a proposé de participer à son projet de créer une école dans le village d'AYMAKOU près de OUIDAH au BENIN, je n'imaginais pas que 10 ans plus tard, que nous aurions la responsabilité d'une école de plus de 200 enfants et de 10 emplois dont 6 enseignants.

Chaque année je vais rencontrer sur place : le Directeur, les Enseignants, les parents d'élèves et bien sûr les enfants dont ma filleule: CHARBELLE.

Les difficultés sont nombreuses :

-Au cours de l'année scolaire écoulée sur les 212 élèves inscrits nous avons dû subir 8 abandons, les parents ne pouvant pas faire face au règlement des frais d'inscription,

-La cantine de midi n'est accessible qu'aux enfants parrainés et aux enfants dont les parents peuvent financer la prestation.Au cours de l'année 2022 notre association à pu offrir 3 mois de déjeuner pour tous les enfants, nous allons bien sur poursuivre cet effort.

-Tous les enfants ne possédant aucun état civil,nous avons entrepris la lourde tache de procurer à chacun,une carte d'identité personnelle,actuellement nous avons déjà obtenu 81 cartes CIP, nous espérons terminer ce vaste chantier au cours de l'année 2024, pour permettre à tous nos écoliers de poursuivre leurs études et plus tard d'accéder à un emploi et voyager.

En ce qui concerne le problème migratoire qui préoccupe beaucoup la France aujourd'hui, et malgré les slogans anti français après les putschs dans les différents pays proches du BENIN, je reste persuadé qu'il ne faut pas abandonner l' AFRIQUE, nous devons plutôt l'aider à mettre en place le grand plan de développement dont elle a tant besoin pour créer des emplois et garder ses bras sur place: Aimons l'AFRIQUE à nouveau, elle finira par nous aimer.

Dans l'immédiat efforçons nous d'aider les parents de nos élèves à surmonter leurs difficultés, en nous inspirant de la parole de Bernard DEVERT Président Fondateur d'Habitat et Humanisme : « Refuser la misère, ce n'est pas l'observer mais la combattre ».

Et c'est ce que nous essayons de faire avec notre association.

BRUNO et sa filleule VIOLETTE

Grâce à Jean-Paul, je me suis fait happer par l'Association Amitié Franco-Béninoise. Il m'a parler de leurs actions à l'école d'Aymakou. Il n'a pas fallu longtemps pour adhérer puis de parrainer avec enthousiasme une jeune fille, Violette, qui est à la rentrée 2023 en 5e au collège. Échange de lettres et bulletins de notes : Elle m'écrit de temps en temps et m'envoie des dessins et je reçois son bulletin scolaire, je lui réponds en la félicitant pour son bon travail scolaire et en l'encourageant pour les matières où elle est un peu juste. Je suis très fier d'elle, mais aussi de sa famille qui vit dans le dénuement et malgré tout, sacrifie encore pour l'éducation de ses enfants.

Quel changement avec une grosse association dans laquelle les donneurs comme les bénéficiaires sont anonymes.

Ancien informaticien, j'ai eu la chance de partir à l'école Saint georges d'Espéranche pour donner les basiques de l'informatique à l'équipe enseignante, faire des photos et des petites séquences filmées se retrouvant sur le site de l'association, et bonheur suprème rencontrer ma filleule et sa famille.

Delphine
Corinne
 

DELPHINE

Membre de l’association Amitié Franco Béninoise depuis quelques années, je suis aussi et surtout la marraine de Dorcas, une petite béninoise, depuis 4 ans.

Toute cette aventure a commencé en septembre 2019. Au gré d’échanges suivis avec Jean-Paul, j’ai découvert les activités et les enjeux de l’association et j’ai eu envie de participer, d’apporter ma petite pierre à ce magnifique édifice. Car, oui, c’est un projet toujours en construction. Et c’est très stimulant.

Le président, Séverin, Jean-Paul et d’autres bénévoles, œuvrent de concert pour améliorer la vie, notamment scolaire, d’enfants béninois scolarisés à Ayimakouhocon, à deux kilomètres de Ouidah, au Bénin. Grâce à l’association, ce sont plusieurs dizaines d’enfants qui ont la chance d’être scolarisés, ils ont accès à l’éducation, sont pris en charge matériellement (uniformes, fournitures scolaires…) mais aussi nourris (même sur le temps de vacances), ce qui permet à leurs parents de leur offrir cet espace de liberté pour apprendre et se construire.

Chaque année, l’école s’enrichit : un potager, un terrain de sport, du matériel informatique... Tout est mis en œuvre pour que ces enfants aient la chance de se projeter dans une vie meilleure.

Séverin assure le lien entre nous et eux. Je reçois régulièrement des dessins, les bulletins scolaires, je vois comment elle progresse, et pour rien au monde, je ne regrette ce choix et cet engagement au côté de gens solidaires qui pensent, comme mois, qu’un autre monde est possible et que c’est tous ensemble que nous y arriverons !

Delphine

CORINNE

Je m’appelle Corinne, j’ai 60 ans, et c’est par la voix de mon amie Delphine que j’ai découvert l’AFB : un jour de l’été 2020 elle me faisait part de sa récente adhésion et surtout me montrait sur son portable une courte vidéo mettant en scène la petite béninoise dont elle était devenue la marraine quelques semaines auparavant. Les mots de remerciements que lui adressait la fillette m’avaient profondément émue, donné envie de questionner Delphine sur l’AFB, ses actions menées, son mode de fonctionnement. Il ne m’en fallut pas davantage pour décider à mon tour de devenir marraine ; après quelques rapides démarches, commençait pour moi le parrainage de Chantale alors âgée de 6 ans.

Participer à cet élan d’amitié et d’entraide, au sein d’une association dont j’ai appris à connaître, au travers d’échanges téléphoniques ou épistolaires, les initiateurs et principaux responsables : des personnes bénévoles, impliquées, dont l’honnêteté et le sérieux n’ont d’égale que leur générosité

Pour moi qui suis enseignante et consciente du rôle à jouer de l’école, donner à un enfant du monde, une fille de surcroît, l’accès à l’instruction

Donner à ses parents des raisons d’espérer une possible émancipation, pour elle, et par incitation, pour sa fratrie

Permettre le financement de projets essentiels à un collectif d’enfants élargi (implantation d’une école au village, aménagement d’un terrain de sport, dotation en matériel informatique…) en suivre l’évolution en toute transparence puis l’aboutissement

Telles sont les raisons principales de mon engagement.

Depuis 3 ans, grande est ma joie de recevoir les bulletins scolaires de ma filleule, d’observer ses progrès, de lui témoigner ma fierté et de l’encourager par courrier ; plus grande sera cette joie le jour (qui existera, je veux le croire) où je pourrai me rendre chez elle, au Bénin, pour la rencontrer !

 

Date de dernière mise à jour : 12/04/2024

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