TOURISME

 
Chantier en cours
 

TOURISME AU BENIN

Son accueil

Le Bénin vous accueille avec des solutions adéquates pour se loger, se nourrir et se déplacer.

Pour se loger. Plusieurs possibilités de logement s'offrent aux visiteurs.

Haut de gamme et confort. A Cotonou, les Hôtels BENIN MARINA, NOVOTEL ORISHA et IBIS COTONOU. Prévoir un budget de 120 € à 200€/jour. A partir de 35€/jour, des chambres avec confort relatif sont accessibles à l'Hôtel Alédjo et VICKINFEL. Hôtel.Azalai Hotel De La Plage - Cotonou -  se trouve tout près des sites suivants : Cotonou Cathedral, Cotonou Central Mosque
 et Artisanal Center. Fidjrosse Beach se trouve également à proximité.
Caractéristiques de l'établissement
Azalai Hotel De La Plage possède un centre de bien-être, une piscine extérieure et un centre de fitness. L'établissement propose un centre d'affaires. Pour vous restaurer, cet hôtel offre 2 restaurants et 2 bars/lounges. Le personnel de l'établissement propose un service d'assistance pour les visites touristiques/achat de billets et un éventail de services d'affaires. L'établissement propose des soins spa, une terrasse et des barbecues. 
Chambres 
Les chambres climatisées de l'établissement Azalai Hotel De La Plage comprennent de l'eau minérale (offerte). L'accès à Internet haut débit par Wi-Fi est gratuit. Les télévisions proposent un lecteur de DVD. 153€/JOUR.

  A l'intérieur du pays, la plupart des lieux d'hébergement confortables sont de cet ordre de prix.

Auberges et Motels. Le voyageur a le choix dans la plupart des villes du Bénin. A Cotonou, il y a le CODIAM, l'Hôtel Concorde qui proposent des chambres à partir de 10€/jour. A l'intérieur du pays, à Parakou, le touriste peut se loger à LE REGAL ou LES CANARIES. A Porto-Novo, au Centre SONGHAÏ.

Chez l'habitant. Partout ailleurs, vous pouvez sympathiser facilement avec des Béninois et habiter chez eux en échange de quelques cadeaux. Sur internet, vous pouvez sur le site http://www.village-beninois.com/contacter des Béninois, résidants.

Pour se loger. Deux solutions : la location de voiture ou les transports en commun (taxi et bus).

Location de voiture. La location de voiture coûte en moyenne 35€/jour pour une petite voiture. Pour un 4×4, prévoir un budget de 100€/jour, sans le carburant. Il est facturé séparément. En outre, pour bénéficier d'un chauffeur, il faut compter 10€/j. La conduite est à droite. Le permis de conduire international et le contrat d'assurance local sont exigés.

Transports en commun. Dans les villes, le transport intra-muros s'effectue par les taxis-motos : les « Zémidjan ». Le prix dépend de la distance. Compter en moyenne 30 centimes d'euros par déplacement. Les voitures taxis existent à Cotonou, mais elles sont surchargées et peu pratiques. Pour aller à l'intérieur du Bénin, vous pouvez prendre les taxis-brousse ou les bus.

Pour se nourrir. Nous vous conseillons de consommer des aliments cuits et des boissons capsulées. Les spécialités varient en fonction des régions. Le plat coûte en moyenne 2€, dans les petits restaurants sous forme d'échoppe. On les appelle « maquis », en fonction d'un aménagement plus confortable.

Les principaux plats

La cuisine béninoise est faite à base de pâte ( maïs ou igname), accompagnée de sauce épicée (tomate, légumes ou gombo) et du poisson ou viande. Le Moyo : sauce à base de tomate, oignon et piment qui accompagne souvent la pate rouge ou le poisson frit. Le Gombo et le crin-crin : sauce gluante faite avec des gombos, une variété de haricots. Le man ou sauce légume d'épinards. Les variantes de garnitures ou pâtes.

Akassa : pâte de maïs fermentée accompagnée d'une sauce, servie sous forme de boules.

Wo : pâte blanche de maïs un peu fade mais destinée à être trempée dans une sauce.

Amio : pâte de maïs rouge. Moins fade que la blanche car séparée avec une purée de tomates mélangée à des oignons et du piment. S'accompagne également d'une sauce.

Ba : pâte à base de farine de manioc émincée finement, sur du riz, des spaghetti ou une sauce.

Fufu : igname pilé formant une pâte avec un léger goût.

Aloko : rondelles de banane plantain frits.

Libo : pâte noire de manioc

wagassi, un fromage à la croûte rougeet qui fait penser à de la mozzarella. Mais ici le fromage est frit et trempé ensuite dans une sauce pimentée.

.

Ses merveilles

 

En fonction de vos centre d'intérêt, le Bénin offre diverses merveilles. Les touristes en quête d'aventure, de culture et d'histoire, d'un tourisme de niche permettant une vraie expérience africaine, de calme naturel ne sont jamais déçus au Bénin.

Les circuits Safari : les parcs nationaux de la Pendjari et du W. Situés au Nord du Bénin, ces deux réserves de faune et de flore laissent admirer des éléphants, des lions, des léopards, des buffles, des antilopes, des hippopotames, des crocodiles, des oiseaux… La saison sèche est la période indiquée pour contempler pleinement les animaux. 

Les découvertes culturelles et historiques : partout ailleurs au Bénin, l'histoire des divers peuples vous donne rendez-vous dans les musées et palais royaux : Abomey, Porto-Novo, Ouidah, Parakou, Nikki, Kouandé… Le parc archéologique d'Agongointo à Bohicon est un bijou parsemé d'abris souterrains dont la construction témoigne de la grande ingéniosité des peuples qui ont habité cette localité au XIXème siècle. Les vestiges de l'esclavage témoignent du passé du pays : haut lieu de la Traite négrière. Au coeur du culte Vaudou, le Bénin étonne et impressionne par les multiples temples disséminés partout, les cérémonies folkloriques, à forte dimension artistique et culturelle. Le 10 janvier est consacré aux cultes traditionnels au Bénin : tout le pays entre en transe pour votre bonheur. Et, la vie des populations et leur mode d'habitat, notamment les Tata Somba : des châteaux forts en miniature. Dépaysement assuré.

Les balades lagunaires et thermales : à une heure de Cotonou, votre curiosité étanche sa soif… dans le lac Nokoué : à Ganvié, un village juché sur l'eau. Pour ses îlots lagunaires, les touristes l'ont baptisé « la Venise africaine ». Cette citée lacustre suscite l'émotion. En outre, le visiteur peut se balader sur l'eau à Grand-Popo à la découverte de la Bouche du Roy : embouchure du fleuve Mono avec de nombreux villages environnants, mangroves, petites îles, prairies marécageuses et bien sûr la large brèche. A Possotomé (Mono) et Hètin-Sota (Ouémé), deux sources thermales tiède et chaude, sont à visiter. Comme la chute de Kota et la cascade de Tanougou.



Dans mon pays, il y a une grande variété de paysages végétaux et une population faunique si importante qu'elles laissent un souvenir inoubliable. Les cordons littoraux de la zone méridionale sont couverts de cocoteraies, et le voyageur prend plaisir à s'asseoir à l'ombre de ces grands arbres dont les fruits ronds et gorgés d'une eau suave, désaltèrent à satiété celui qui les cueille et les ouvre. Quant aux mangroves qui sont des forêts naturelles de palétuviers aux racines enchevêtrées, elles font rêver à l'écotourisme.

Une forêt tropicale humide, très dense, recouvrait autrefois le pays jusqu'aux lagunes.

La région méridionale a été largement déboisée et mise en culture, sauf aux abords des fleuves (forêts-galeries). Le palmier à huile aujourd'hui en déclin constituait autrefois de grandes plantations.

Des cocotiers ont été plantés entre mer et lagunes. Le centre du Bénin est en grande partie recouvert de forêts sèches. La savane arborée et les forêts-galeries dominent dans le Nord, au climat plus sec. Buffles, antilopes, panthères, singes, crocodiles et canards sauvages font partie de la faune du nord du Bénin. La zone subéquatoriale présente un aspect insolite. En raison d'une anomalie climatique, la forêt dense habituelle à cette latitude est remplacée par une savane touffue communément appelée Savane béninienne et quelques forêts sacrées.

La réserve de la Pendjari, à cheval sur le Bénin et le Burkina Faso, et celle du W, partagée entre le Bénin et le Niger, sont très fournies en capital faunique.

Actuellement, seule la réserve de la Pendjari est aménagée pour recevoir les amoureux du SAFARI. Situé à 93 km de Natitingou, et d'une superficie de 275.000 hectares, le parc est un véritable jardin d'Éden où vivent protégés, plus de 850 éléphants, 2.000 buffles, 1.205 hippopotames, 350 lions et autres, léopards, antilopes, etc. D'importantes espèces d'oiseaux y vivent également. La chasse sportive est ouverte dans les zones cynégétiques définies et délimitées par les services des Eaux et Forêts et Chasse. Ce sont la zone de Porga et de l'Atakora et les endroits retenus pour les campements : Batia Koukoubiri, Mékrou. Pour ce qui est de la flore, chaque région naturelle du Bénin correspond à un type de végétation qui a ses attraits.

Toute la zone centrale et septentrionale du Bénin supporte des savanes. C'est par excellence le domaine d'élection de la grande faune favorable à la pratique de safaris. Les réserves sont parmi les plus remarquables d'Afrique : éléphants, buffles, hippopotames, hippotragus, lions, guépards, caïmans, antilopes, oiseaux au plumage chatoyant et multicolore, sont comme dans un paradis retrouvé.

Mais bien sûr, il y a aussi des animaux domestiques comme le bœuf, le mouton, 
la pintade, la poule, le canard, le dindon, le lapin 



ECONOMIE


Selon les estimations de la Banque mondiale, le Bénin est l'un des pays les plus pauvres d'Afrique. L'économie, informelle ou non, demeure sous-développée et dépend essentiellement de l'agriculture vivrière, du coton et du commerce transfrontalier avec le Nigeria qui interdit les importations d'une liste croissante de produits du Bénin et d'ailleurs. La contrebande le long de la frontière du Bénin-Nigeria est, de ce fait, en très nette augmentation. Si la balance commerciale du Bénin a très clairement évoluée dans le bon sens elle est encore largement déficitaire. Le Bénin a exporté plus de 721 millions de $.

Les exportations sont principalement constituées de pétrole brut, de produits dérivés du palmier à huile, de cacao et de coton, le Bénin est le premier exportateur de coton filé de l'Afrique subsaharienne. La Chine, 30,2%, l'Inde, 15,6%, le Ghana, 5,9%, et le Niger, 4,5%, sont les principaux importateurs de produits béninois. Les importations ont représentés près de 935 millions de $.

Il importe produits alimentaires, biens d'équipement et produits pétroliers principalement depuis la Chine, 29,7%, la France 13,8%, une forme de colonialisme a la vie dure, la Thaïlande, 7,2%, et la Côte d'Ivoire, 4,6%. Les principales richesses naturelles sont constituées de : petits gisements pétroliers en mer, pierre à chaux, marbre, bois de construction.

L'agriculture constitue la base de l'économie de mon pays. C'est une agriculture extensive à production essentiellement vivrière et employant près de 85 % de la population active. Le maïs, le manioc, le haricot, l'igname, le sorgho, le fonio sont les principales cultures vivrières.

Quant aux produits industriels, les principaux concernent le palmier à huile, l'arachide, le karité, le coton, lekapok, le tabac, l'anacardier.
La pêche, la chasse et l'élevage ne revêtent pas au Bénin la même importance que l'agriculture dans les campagnes sauf chez les groupes socioculturels qui les pratiquent exclusivement. Le Port Autonome de Cotonou est un maillon majeur de l'économie béninoise. Il dessert les pays de l'Hinterland et génère beaucoup d'emploi. C'est l'un des ports les plus importants de l'Afrique occidentale.

Le secteur industriel, embryonnaire au début des années 1960, est caractérisé depuis lors par l'essor d'une série d'industries légères et la mise en place de certaines structures industrielles. Toutefois, les aléas climatiques, les problèmes de localisation, l'exiguïté du marché intérieur, le manque de capitaux, les conjonctures du marché international sont les principaux facteurs limitants le développement industriel du Bénin. En plus, des ressources minières déjà exploitées (calcaire d'Onigbolo, réserve d'eau thermale de Possotomé, pétrole de Sèmè...) de nombreux gisements sont à mentionner, parmi lesquels le fer de Lombou-Lombou, l'or de Perma, les phosphates de Mékrou.

Le gouvernement encourage le secteur agroalimentaire sur la voie du développement de nouveaux systèmes de production et de transformation des produits agricoles. Les 700 barils/jours de pétrole sont la principale ressource minière du Bénin. Le petit champ pétrolifère de Sémé, au large de Cotonou, a été mis en exploitation en 1982. Les ressources minières comprennent le minerai de fer, le chrome, le diamant, le calcaire et des phosphates, mais seuls le calcaire et le diamant font l'objet d'une exploitation. Le calcaire de la région de Pobé est exploité pour la fabrication du ciment et des diamants, de qualité industrielle, sont exportés. L'énergie provient principalement du Ghana, mais la baisse de production d'Akosombo a fortement touché le Bénin. La Banque Ouest Africaine de développement a accordé un crédit pour l'achat de 2 turbines à gaz destinées à fournir de l'énergie au Togo et au Bénin. Les petites centrales thermiques électriques, fonctionnant au gazole, ainsi qu'un complexe hydraulique, assurent difficilement le complément.

Des progrès sont à signaler dans le domaine des infrastructures de communications et du développement des ressources culturelles et touristiques. Mais à l'instar de beaucoup de pays, l'économie du Bénin dépend pour une large part de l'aide extérieure.

Le Bénin dispose de quatre banques commerciales, basées à Cotonou. L'inflation était de 2,4% en 2004.

En 2003 on estimait le nombre de raccordements téléphoniques à 66.500 pour plus de 236.000 cellulaires. 70.000 internautes sont desservis par 879 fournisseurs d'accès. 2 radios AM, 9 FM, 4 ultras courtes et 1 chaîne TV animent les ondes. 6.787 Km de routes (1.357 goudronnées, y compris les 10 Km d'autoroute), sont parfois difficilement praticables ou fermées en saison des pluies. 1 aéroport goudronné, Cotonou, ne possède pas de piste de plus de 3.000 m. 4 aéroports non goudronnés desservent les villes d'Abomey, Natitingou, Kandi et Parakou. Le grand port du Bénin, Cotonou, est aussi celui du Niger enclavé. Il y fait transiter une grande partie de ses importations et exportations comme le minerai d'uranium. Ces marchandises transitent par camions de Cotonou à Parakou.

Actuellement le tiers, au moins, des habitants du pays vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Le Franc CFA (XOF), est divisé en 100 Centimes, il est sous l'autorité de la Banque Centrale de l'Ouest Central Africain. Entre 2000 et 2004, il a perdu plus de 25% de sa valeur face à l'USD. L'année fiscale clôture au 31 décembre.

À part cela, je te signale qu'au Bénin où les habitants sont accueillants et joviaux, il y a de nombreuses petites entreprises au coin de chaque rue. Tu verras des vendeuses de beignet ou de riz, des conducteurs de taxi motos, des transitaires au port, des réparateurs de chaussure, des laveurs de voiture, des vendeurs de viande grillée, etc.

Les Béninois ont la réputation d'avoir beaucoup d'humour et de ne pas se plaindre de leur sort. Le Bénin est membre de l'Union économique et monétaire ouest africaine

CULTURE



Dans ses aspects exotériques, la cosmogonie marquée par l'animisme, ou les religions traditionnelles véhicule tout un panthéon de divinités. 
Le Bénin est connu comme étant le berceau et le pays du Vodou. 
Parallèlement aux cérémonies culturelles, des manifestations culturelles existent ici et là dans le pays. L'on peut citer : 
• Le Yèkè Yèkè dans le Mono
• Les Egungouns dans l'Ouémé
• La Gani rassemblant la communauté Baatombu
• La fête des masques Guèlèdè 
En dehors de ces manifestations culturelles à caractère national ou régional, le folklore local reste très vivace : la musique de l'eau, la danse du bâton, les échassiers, les danses acrobatiques, etc. 
Le français est la langue officielle du Bénin, mais les Béninois parlent la langue de leur communauté (fon, haoussa, yoruba), celles de leurs voisins immédiats et les langues des commerçants. Plus de la moitié de la population est animiste et pratique un vaudou marqué de fortes tendances syncrétiques avec le christianisme. Le vaudou est devenu la religion d'État au début de l'année 1996. Les chrétiens, catholiques et protestants représentent 20 % de la population et vivent surtout dans le Sud, 15 % de la population sont des musulmans, surtout dans le Nord.
Img 0143